Le petit miracle des Francomanias
Chaque année, le festival fait face à des défis techniques considérables pour accueillir les artistes
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Photos Alain Wicht Textes Claire Pasquier
30 août 2022 à 23:00
Bulle » Les structures des scènes sont montées depuis vendredi dernier, les lumières installées depuis lundi et le son est en phase d’être finalisé. Sur les trois scènes des Francomanias, la trentaine de techniciens employés par le festival bullois s’active ce mardi pour laisser la place aux artistes dès mercredi soir (lire ci-dessous).
Comme chaque année, le directeur technique Antoine Marchon et son équipe font des miracles avec l’espace à disposition dans la cour du château et à l’Hôtel de Ville de Bulle, les deux scènes payantes. «Nous devons constamment trouver des solutions pour acheminer et stocker notre matériel technique et celui des artistes», explique-t-il. En plus d’être contraint par des écrins modestes, le festival a la particularité d’avoir les yeux plus gros que le ventre et d’inviter des têtes d’affiche habituées aux zéniths. «Prenez Sofiane Pamart. En novembre, il jouera en solo à Bercy. Plus tôt dans l’année, il était affiché sur un écran géant de Times Square, à New York. Et là, il va jouer pour 550 personnes», partage le directeur du festival Jean-Philippe Ghillani.
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