Couac dans l’AVS . Les raisons qui ont poussé Stéphane Rossini à la démission
Le Valaisan paye l’énorme erreur de calcul de l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS), qu’il dirige. Plus que l’erreur, c’est la communication qui a gêné.
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Aujourd’hui à 18:31
Temps de lecture : 4 min
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Derrière la démission ce mercredi du directeur de l’Office fédéral des assurances sociales (OFAS), il y a l’officiel et l’officieux. Le second d’abord, plus complet: Stéphane Rossini traîne comme un gros boulet l’erreur de calcul commise par ses équipes. Souvenez-vous, en pleine chaleur du mois d’août dernier, le Valaisan se présentait devant la presse pour annoncer l’impensable. Une bourde, énorme, de quatre milliards de francs dans les dépenses de l’AVS. Certes, ce montant a été réduit dans un deuxième temps, mais ça ne change rien à l’affaire.