Pas de panique chez les panicauts
Le chaud et le sec ne font pas peur à ces plantes robustes comme des ânes. Qui s’acoquinent volontiers avec d’autres vivaces en plein soleil.
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jean-luc pasquier*
23 août 2015 à 20:08
Dans ce parc parisien, le fourmillement touristique s’est évaporé pour laisser place aux habitudes des autochtones. Poètes, écrivains et autres peintres s’inspirent de la tendre lumière dorée. Assis à la terrasse d’un café, Nicolas apprécie la paisible douceur de cette fin d’été. Les tables sont clairsemées et seules quelques chaises sont occupées. Pas loin de lui, Janik déguste son double...
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