Les lapins, œufs et poussins de Pâques en chocolat sortent de leur pré carré. Toujours aussi bons…
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Stéphanie Schroeter
13 avril 2022 à 18:40
Douceurs » Ils sont souvent sages, ne bougent pas une oreille, attendant patiemment d’être croqués. Pâques oblige, les lapins en chocolat ont, depuis plusieurs jours, fait leur réapparition sur les étals des boulangeries-confiseries (voir ci-après). Certains, plus malicieux, affichent une pose moins traditionnelle. Bref, ils se mettent dans tous leurs états! Comme le «Chaud Lapin» dont l’audace envahit de nombreux points de vente de la région, de Suisse romande et même de France.
Ce petit malin, âgé d’une dizaine d’années, est né de l’imagination d’une bande de copains d’école. Des Neyruziens quadragénaires qui ont eu un soir de fête bien arrosée une idée folle: créer un lapin coquin «mais pas vulgaire» histoire de sortir des sentiers battus. La blague devient rapidement réalité. Confiseur, garagiste, spécialistes du design et de la communication: ils réunissent leurs compétences afin de mettre au monde leur bébé dont le moule a été créé sur mesure par une entreprise allemande.
Chaud Lapin voit le jour en 2010 et 69 (évidemment) petits naissent dans la foulée. D’abord vendus à leurs cercles d’amis, les délices sucrés connaissent, au fil des ans, un joli succès. Plus de 600 pièces sont aujourd’hui fabriquées et vendues au prix de 21 francs la pièce et 36 francs dans le coffret, dans près de vingt boutiques, épiceries ou lieux de passages.
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