Les citoyens suisses ont balayé ce dimanche la réforme de la loi sur la prévoyance professionnelle. Selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, le camp bourgeois a eu le tort d’enterrer le compromis passé entre les partenaires sociaux.
Partager
22 septembre 2024 à 16:22, mis à jour à 20:13
Comme attendu, les citoyens suisses ont balayé ce dimanche dans les urnes la réforme de la loi sur la prévoyance professionnelle (LPP). Il faut dire que l’objet, très technique, était difficile à comprendre pour le commun des mortels. Paradoxalement, il s’agit pourtant d’un sujet important, qui concerne tout un chacun puisque ce texte législatif conditionne le niveau des rentes que la population active touchera à la retraite.
La mise en œuvre de l’initiative sur la biodiversité entraînerait une diminution drastique de la production agricole indigène. Ce serait paradoxalement néfaste pour l’environnement, estime François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
