Margareth Eigenmann, Granges-Paccot
17 octobre 2024 à 13:48
Très bel article fait par votre journaliste sur les dix ans du pont de la Poya (La Liberté du 15 octobre, «Le pont a atteint ses objectifs»). Je voudrais juste ajouter que les véhicules ne s’évaporent pas du tout, contrairement à ce que laisse entendre le chef du Service de la mobilité, même s’ils libèrent la ville de Fribourg. Ces derniers se retrouvent en grande partie sur la commune de Granges-Paccot. L’air y est devenu très nocif sans parler de la pollution sonore qui est insoutenable à certaines heures. Et là je ne parle même pas de l’impossibilité de circulation afin d’accéder à nos habitations le soir. Les bouchons se sont installés de façon pérenne. Votre article se focalise sur la commune de Fribourg, il aurait pu se soucier des habitants de l’agglomération. Il nous reste une possibilité en lieu et place de l’évaporation des véhicules, c’est de nous évaporer.