Etudes de médecine. Recalés, exilés ou reconvertis, ils témoignent
La Suisse a mal à la formation de ses futurs médecins. Recalés, exilés ou reconvertis, ils témoignent
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12 février 2024 à 12:30
Fin janvier, La Liberté attirait l’attention sur les problèmes liés à la formation des futurs médecins en Suisse (LL du 20.01.2024). Entre un numerus clausus désuet et la rigueur excessive des premières années du cursus universitaire, de nombreux étudiants se voient recalés. Tenaces, un nombre croissant de jeunes Helvètes optent pour l’exil afin de se former, contre vents et marées, au métier de leurs rêves. Et pour ceux qui parviennent à passer les étapes sélectives, c’est parfois au contact de la pratique clinique que le rêve se brise. Le surmenage et la charge administrative ruinent la motivation des jeunes docteurs, qui envisagent, parfois, de tourner le dos à la profession. Aujourd’hui la parole est aux principaux concernés. Marco, Alexis, Leah et Ambre* sont jeunes et animés par leur vocation médicale. Tandis que certains s’accrocheront résolument à leur ambition de devenir médecins, d’autres ont déjà choisi de bifurquer vers d’autres horizons ou envisagent sérieusement de le faire…
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