31 décembre 2021 à 02:01
Recherche » Des microscopes très puissants de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) tentent de percer les mystères d’omicron. Leur travail pourrait permettre de comprendre les mécanismes par lesquels ce nouveau variant du coronavirus échappe aux vaccins et aux anticorps.
Depuis quelques semaines, Lausanne héberge des microscopes électroniques parmi les plus puissants du monde. Ils sont rassemblés au sein du Dubochet Center for Imaging (DCI), qui regroupe aussi des chercheurs des universités de Lausanne (UNIL) et de Genève (UNIGE).
«Nous avons établi, en collaboration avec le groupe du virologue Didier Trono et celui de la spécialiste des protéines Florence Pojer, une image précise de la structure de la protéine Spike du variant omicron», soit à l’échelle de l’atome, explique Henning Stahlberg. Le DCI a déjà réalisé il y a quelques semaines l’image la plus précise à ce jour de la protéine Spike du virus original. ATS
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