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Ce qui vous a fait parler

Ça vous a fait parler en 2024. Le 27 mai, Fribourg-Gottéron licencie son coach Christian Dubé

L’aventure entre Christian Dubé et les Dragons s’est abruptement terminée au printemps. Le 27 mai, le Canadien est remplacé avec effet par son assistant Pat Emond, tandis que Gottéron annonce l’arrivée du Suédois Roger Rönnberg pour la saison 2025-2026. La nouvelle fait l’effet d’une bombe sur nos réseaux sociaux.

Christian Dubé ne sera pas parvenu à emmener les Dragons au titre.Alain Wicht

François Tardin

François Tardin

Aujourd’hui à 06:30, mis à jour à 08:16

Temps de lecture : 1 min
  • Lundi 27 mai, Gottéron annonce qu’il a mis fin au contrat de Christian Dubé. Le Canadien faisait partie du club depuis onze ans et l’entraînait depuis cinq saisons. Son assistant Pat Emond prend sa place pour la saison 2024/2025 avant l’arrivée du Suédois Roger Rönnberg, actuellement coach de Frölunda et présenté comme le Messie.
  • Dans La Liberté du 28 mai, notre journaliste Pierre Schouwey affirme que le vestiaire de Gottéron ne voulait plus de Christian Dubé. Dans un commentaire publié dans cette même édition, notre journaliste estime que Gerd Zenhäusern a pris les décisions qui s’imposaient, pointant notamment «un bilan global – deux séries de play-off gagnées depuis 2015 – insuffisant». Il n’empêche que, resté durablement à son poste, Christian Dubé était devenu une figure incontournable du club et son éviction fait fortement réagir nos réseaux sociaux. Nos followers s’y montrent partagés, mais un grand nombre d’entre eux prennent la défense de Dubé.
  • Quatre mois après, Christian Dubé commente son licenciement dans notre podcast Point de vue. L’ancien entraîneur des Dragons révèle n’avoir pas voulu voir le premier match de la saison 2024/2025 entre Gottéron et Ajoie, et se dit encore «très émotif» au sujet de la fin de son aventure avec Fribourg. «Je ne suis pas encore prêt à voir des gens avec qui ça s’est mal terminé», explique-t-il alors.

Suisse

Ça vous a fait parler en mai: L’artiste non binaire suisse Nemo remporte l'Eurovision

La première victoire de la Suisse à l'Eurovision depuis 1988 aurait pu être une grande fête nationale. La non-binarité de l’artiste Nemo, à qui l’on doit cette consécration, a pourtant déclenché sur les réseaux sociaux une vague de commentaires haineux et discriminatoires. Mais internet n’est plus (toujours) une zone de non-droit. Le député fribourgeois Ivan Thévoz en a fait l’expérience.