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Au fil de la Sarine

J'ai testé pour vous. porté par le vent de Grandvillard jusqu’au Vanil-Noir

Depuis Grandvillard, les vents ont porté notre voile jusqu’au Vanil-Noir pour un vol magique au-dessus de la vallée de l’Intyamon avec vue sur la Sarine


Pascal Dupasquier

Pascal Dupasquier

26 juillet 2022 à 18:25

Temps de lecture : 1 min

Série d’été (3/7) » La Liberté vous emmène au bord de la Sarine. Du col du Sanetsch, où elle prend sa source, jusqu’à Golaten, où elle se verse dans l’Aar. Sept semaines d’été pour autant d’arrêts sportifs.

«Vous verrez, c’est directement sur la gauche à l’entrée de la route de l’aérodrome. Il y aura la fourgonnette Gruyère-Parapente parquée devant, vous ne pouvez pas vous tromper. Si jamais, téléphonez-moi au cas où.»

De coup de fil, il n’y aura pas. Les indications de Marc Pugin sont suffisamment claires. Claires comme l’eau de cette Sarine qui s’écoule paresseusement à quelques centaines de mètres de là. En contrebas de son antre, ou plutôt des locaux de Gruyère-Parapente dont Marc Pugin est le cofondateur avec Amandine, son épouse.

Depuis toute la Suisse

Le magasin, la salle de théorie pour l’école de parapente, l’atelier attenant où sont effectués contrôles et réparations des voiles ont ceci de rassurant: l’Icare de pacotille qui a rencard en ce début d’après-midi pour son vol inaugural, en biplace évidemment, est entre de bonnes mains. Ouf! «Les toiles de parapentes doivent être réexaminées tous les deux ans. On en reçoit de toute la Suisse, on contrôle les suspentes, on checke la porosité du tissu, de la voile…»

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