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Société

Les GINK, ces écolos qui renoncent à devenir parents

Par sensibilité environnementale, les «GINK» renoncent à faire des enfants. Leurs arguments sont-ils valables?

Pour les GINK, continuer à peupler frénétiquement la planète revient à courir à la catastrophe.

 Patricia Michaud

Patricia Michaud

9 mai 2022 à 17:25

Temps de lecture : 1 min

Avenir » L’annonce a fait sensation tant auprès des amateurs de presse people qu’auprès des défenseurs de l’environnement: en 2019, le prince Harry et son épouse Meghan ont déclaré qu’ils feraient au maximum deux enfants, ce pour des raisons écologiques. La même année, de nombreux jeunes militants descendus dans la rue lors des grèves climatiques brandissaient des pancartes décourageant la procréation afin de sauver la planète.

Communément appelé «GINK» (pour Green inclinations, no kids, c’est-à-dire «tendances vertes, pas d’enfants»), le mouvement consistant à renoncer à faire des enfants – ou à en limiter le nombre – par sensibilité environnementale fait des émules parmi les jeunes Occidentaux, Suisses y compris. «A une époque où nous grillons chaque année davantage de ressources que la Terre n’en a à offrir, j’estime qu’il est complètement inconscient de mettre au monde de nouveaux consommateurs», affirme Léa.

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