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Histoire vivante

Nucléaire. Une expertise suisse pour Fukushima

Avant que le Japon ne déverse les eaux usées et traitées de Fukushima, un laboratoire suisse a joué un rôle clé, s’assurant que celles-ci soient conformes aux normes internationales.

Depuis le tsunami de 2011, plus de 1,3 million de tonnes d’eaux usées radioactives ont été collectées, traitées et stockées dans plus de 1000 réservoirs à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, dans le nord-est du Japon. © Keystone

Simon Bradley, Tomoko Muth et Kai Reusser, Swissinfo

Simon Bradley, Tomoko Muth et Kai Reusser, Swissinfo

1 février 2024 à 20:00

Temps de lecture : 1 min

Avant que le Japon ne commence à déverser, le 24 août dernier, les eaux usées et traitées de la centrale endommagée de Fukushima, le Laboratoire de Spiez (BE) a joué un rôle clé. Connu comme gardien contre les menaces atomiques, biologiques et chimiques depuis la Seconde Guerre mondiale, il s’est assuré que les eaux rejetées au large des côtes soient conformes aux normes internationales.

Petit rappel. Le 11 mars 2011, un tremblement de terre de magnitude 9,1 au large de la côte nord-est de l’île principale du Japon provoquait un tsunami causant la mort de 18 000 personnes. En atteignant la côte, la vague meurtrière s’est également écrasée contre la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. A la suite de la catastrophe, d’énormes quantités d’eau de mer ont dû être utilisées pour éteindre le feu et refroidir trois des réacteurs de la centrale.

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