Logo

Justice - NE. Procès Swatch pour corruption pas renvoyé

Le procès devant la Cour pénale neuchâteloise, opposant Swatch Group à deux de ses ex-cadres, ainsi qu’à un homme d’affaires, s'est ouvert lundi à Neuchâtel. Contrairement à la demande de la défense, le procès n'a pas été renvoyé pour violation du droit d'être entendu.

Le procès en appel qui oppose le Swatch Group à des ex-cadres et à un homme d'affaires français s'est ouvert à Neuchâtel (photo symbolique).KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT

ATS

ATS

Aujourd’hui à 09:56, mis à jour à 11:57

Temps de lecture : 1 min

Les tiers touchés, soit la femme et les enfants d'un accusé, ex-responsable des achats chez Tissot, ont reçu la décision de séquestre par l’intermédiaire des banques. Ils se sont manifestés à un stade de la procédure, ce qui laisse à penser qu’ils ne voulaient plus intervenir, a déclaré la présidente de la Cour pénale Marie-Pierre de Montmollin.

La cour a accepté la disjonction de la procédure pour la veuve de l'ex-responsable qualité de Tissot. Son avocat Jean-Daniel Kramer est dispensé de comparaître. Il avait demandé de mettre un terme à la procédure pour sa cliente car actuellement les fonds sont bloqués par le séquestre.

En première instance, les prévenus avaient été acquittés de gestion déloyale aggravée. La corruption était prescrite.