A peine le nouvel accord négocié avec l’UE a-t-il été présenté qu’il a fait l’objet d’une rafale de critiques. Qu’elle le veuille ou non, la Suisse a pourtant une communauté de destin avec l’Europe, estime François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
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Aujourd’hui à 08:00
Une fois n’est pas coutume, le peuple suisse ne prendra guère le chemin des urnes en 2025. Un seul objet est soumis à votation le 9 février, et, à ce stade, il n’est pas encore sûr qu’il y ait d’autres votations fédérales cette année. Néanmoins, le débat politique fera quand même de grosses étincelles ces prochains mois. Le Conseil fédéral veut mener à bien son programme d’économie. Surtout, le dossier européen va enflammer les esprits. Le 20 décembre dernier, le Gouvernement a, pour mémoire, présenté le nouvel accord négocié avec l’Union européenne (UE). La consultation devrait démarrer cet été, avant que le paquet n’arrive aux Chambres fédérales en 2026.
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