Un an après l’attaque terroriste du Hamas sur son sol, l’Etat hébreu mène un conflit meurtrier qui pourrait embraser tout le Moyen-Orient, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
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4 octobre 2024 à 15:14, mis à jour à 17:48
C’est un triste anniversaire. Ce lundi 7 octobre, cela fera un an que le Hamas a lancé son attaque terroriste sur Israël, avec prises d’otages et massacres de civils. Un acte inqualifiable, qu’il convient de condamner avec la plus grande fermeté. Mais que dire de la riposte israélienne? Loin des préceptes de la loi du talion, l’Etat hébreu a répliqué au centuple, en menant une opération militaire qui s’est muée en une destruction systématique de la bande de Gaza. Sous le regard complaisant du grand frère américain, pourvoyeur des bombes meurtrières et incapable de raisonner le premier ministre Benjamin Netanyahou, saisi de folie guerrière.
L’enquête administrative relative aux jetons de présence du secrétaire général est close. Epinglé par la préfète de la Sarine, l’Exécutif bullois fait pourtant comme si de rien n’était. C’est grave, estime François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
