Courrier des lecteurs. Levrat, tel Faust, a vendu son âme pour quelques billets
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Nicolas Rossier, Lausanne
9 juin 2024 à 00:00
Temps de lecture : 2 min
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Il y a quelque chose de pourri au royaume de la Poste ces temps-ci. Pourtant, il faut se pincer pour le croire en voyant dernièrement l’(ex?)-camarade Levrat louvoyer avec les mots ambigus, redéfinissant une mission de service public à sa sauce et nous délivrer une doxa digne de l’amicale des patrons réunis, en tentant de justifier maladroitement la suppression pure et simple mais quasi entérinée de 170 bureaux de poste.