Théo Siegrist, Granges-Marnand
20 août 2024 à 12:24
J’ai eu la chance de ne pas avoir souffert dans ma santé des deux fléaux que constituent le tabagisme et l’alcoolisme. Pourtant, j’étais un gros fumeur à l’époque où nous pouvions fumer librement presque partout, y compris dans les trains, les bateaux et les avions! Accro au tabac, j’ai consommé deux paquets par jour pendant plus de quarante ans.
Quant à l’alcool, comme natif de Payerne, j’ai beaucoup fréquenté les nombreux établissements publics de cette ville, qui fermaient tard et où chacun y allait de sa tournée. Les joueurs de cartes se voyaient dans le même troquet pour de longues parties. Il était courant de faire partie d’une société sportive, politique ou de contemporains. Ces réunions très prisées se terminaient autour d’un verre. Or, les abus d’alcool et les ivrognes provoquent violences conjugales, drames, licenciements, poursuites et divorces.
Heureusement, ni ma forte consommation de cigarettes, ni mes deux verres de vin quotidiens n’ont provoqué chez moi la moindre maladie. J’ai 79 ans, suis autonome, en parfaite santé, psychique et physique. Je n’ai jamais eu recours à un soutien psychologique, ni médicament, ni médium, ni gourou. Sans la moindre difficulté, je me suis fort heureusement débarrassé de mes excès de tabac, en stoppant complètement la cigarette d’un jour à l’autre. Cela fait plus de trente ans et la fumée autour de moi ne me gêne pas.
Selon mon expérience, pour en finir définitivement avec les abus de tabac et d’alcool, il faut dire stop et ne pas tergiverser. Mais attention: cette décision doit provenir de votre propre volonté pour que cela puisse avoir une chance de fonctionner!
Un papa de deux enfants, divorcé, dans La Liberté du 11 septembre: «J’attends qu’ils partent pour pleurer.» Pourtant il y a l’aide sociale. Et, elle devrait être utilisable comme une route ou une subvention. Nous payons des impôts pour les ...
