Sophie Campiche, Fribourg
Aujourd’hui à 12:47
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Cher abbé Pierre; je vous ai toujours admiré et, ces derniers jours, j‘aurais pu succomber et entrer dans cette fiévreuse inquisition, basculer de la ferveur au dégoût! Mais je ne me résigne pas à oublier ce que vous avez accompli un certain hiver 1954 qui reste envers et contre tout une prise de conscience qui sauva bien des personnes.