Donald Trump a ouvert les négociations de paix sur l’Ukraine avec Vladimir Poutine sans convoquer Kiev ni Bruxelles. «Les Américains ne peuvent pas vendre au rabais la sécurité européenne», estime le spécialiste Elie Tenenbaum.
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Thierry Jacolet
13 février 2025 à 22:30, mis à jour à 22:52
Il suffit d’un pays pour déclencher une guerre. Il en faut au moins deux pour l’arrêter. Donald Trump semble se contenter du minimum pour régler le conflit en Ukraine. En passant un coup de fil directement au président russe Vladimir Poutine mercredi, afin d’ouvrir immédiatement les négociations de paix, il a snobé la principale concernée, l’Ukraine, mais aussi l’Union européenne. Si le président américain a finalement tendu la main à Kiev, Bruxelles reste pour l’heure sur la touche.
L’avocate de Luis Rubiales a demandé jeudi la relaxe de l’ex-patron du football espagnol lors de son procès pour le baiser sur la bouche qu’il avait infligé à la joueuse Jenni Hermoso en 2023. Le verdict n’est pas attendu avant plusieurs semaines.
