Antonescu, côté jardin
Avec Inflorescence, l’écrivaine cultive une écriture en bourgeonnements qui traverse les générations. Manière de saisir la nature humaine par la racine
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Thierry Raboud
9 janvier 2021 à 02:01
Portrait » Pour espérer la floraison, cultiver son jardin. On imagine Raluca Antonescu écrivant, les yeux posés sur le regain ou les premières sèves, mâchonnant comme ses personnages de jeunes pousses, trèfle et pourpier, en bouche un goût reverdissant. «J’ai grandi dans un petit village, depuis j’ai besoin de sentir les plantes, de les toucher, de...
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