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Le mot de la fin

Chronique. Bayrou, c’est un peu Gottéron

En France, François Bayrou n’a jamais été le prototype du foudre de guerre. Il inspire pourtant de la sympathie à notre chroniqueur.

François Bayrou n’est pas peut-être pas un foudre de guerre, mais il inspire de la sympathie à certains.
Keystone

Michaël Perruchoud

Michaël Perruchoud

15 décembre 2024 à 17:08

Temps de lecture : 3 min

L’autre soir, alors que mes potes ricanaient sur la politique française et ses premiers ministres kleenex, je leur ai dit: «J’aime bien François Bayrou». J’ai eu droit en retour à une cascade de rires, comme si j’avais prononcé la plus grande connerie depuis les affirmations péremptoires des apôtres de la ligne Maginot vers novembre 1939. «Oh putain, cette girouette, ces dents qui raclent le parquet, c’est le pire de tous, Bayrou!»