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Histoire vivante

Victimes collatérales de Pearl Harbor

Quand les Etats-Unis internaient leurs ressortissants parce qu’ils avaient «le visage de l’ennemi»

En haut: la famille Mochida, à Hayward en Californie, attend le bus qui la mènera au camp d’internement. Des étiquettes d’identification permettaient de garder la cellule familiale intacte durant l’évacuation. En bas à g., des enfants nippo-américains prêtent allégeance au drapeau des Etats-Unis. A droite, un commerce japonais affiche son attachement américain après l’attaque de Pearl Harbor.

 Michaëla Ngindu

Michaëla Ngindu

26 juin 2020 à 04:01

  • Monument «pour consoler les âmes des morts» au camp Manzanar, où vivaient 10 000 internés.

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Il y a 70 ans, le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait son vibrant appel radiodiffusé en faveur des sans-abri qui mouraient de froid en France. Son «insurrection de la bonté» n’aurait pas été possible sans le soutien extraordinaire d’une femme, Lucie Coutaz. Cofondatrice et directrice administrative du mouvement Emmaüs, elle a été son alter ego durant 40 ans. Portrait.