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Politique

PLR. Avec sa position sur l’école, le parti recherche «son côté populaire»

Nouveau vice-président suisse d’un parti en difficulté, le conseiller national genevois Cyril Aellen veut faire du PLR une force de proposition.

Cyril Aellen, à droite, avec d’autres membres de la présidence du PLR.Keystone

Guillaume Chillier

Guillaume Chillier

22 juin 2024 à 16:12, mis à jour le 23 juin 2024 à 10:59

Temps de lecture : 4 min

A bout de souffle, l’école obligatoire? Oui, répond avec férocité le PLR. Dans un papier de position adopté ce samedi par l’assemblée des délégués, iI voit l’éducation sans smartphone, sans «idéologie woke» et, surtout, il estime que l’école inclusive n’a pas atteint ses objectifs. Voilà de quoi occuper les nouveaux vice-présidents du PLR, qui ont remplacé samedi le Valaisan Philippe Nantermod et la Fribourgeoise Johanna Gapany. Pour l’un d’eux, le conseiller national genevois Cyril Aellen, c’est un retour aux fondamentaux du parti.