Lhassa se distingue encore des autres villes chinoises mais jusqu'à quand?
carnet de route ? Bloqué par une pneumonie à Lhassa, Claude Marthaler revisite une ville toujours plus chinoise mais qui retrouve un peu d'elle-même en hiver.
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claude marthaler, lhassa
16 février 2008 à 02:00
L'hiver persiste et signe: je resterai une semaine à Ali, me réveillant avec la ferme intention de le traverser comme une épreuve de force, mais le soir venu, mes bonnes résolutions sont balayées par un simple coup de vent. Je retrouve cette même «valse-hésitation» qui m'avait fait vaciller à la veille de traverser en 2000, la République démocratique du Congo...
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