5 avril 2008 à 04:00
Un monde imaginaire Au terme de presque deux mois «d'arrêt-maladie», il me faut reprendre du poil de la bête. A tout prix. Au Tibet, ce changement-là requiert un bras de fer avec mon corps, parfois aussi abrupt que ses montagnes. Je souffle comme un yak, franchissant peu à peu, par des sorties quotidiennes, la faible barre des 4000, puis celle...
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