Volleyball. Ils n’avaient d’yeux que pour Méline
Une délégation de hockeyeurs était à la Riveraine pour soutenir la Fribourgeoise du NUC, mardi soir.
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Adrien Schnarrenberger
29 février 2024 à 00:25
«Avec mes 203 centimètres, on pouvait me prendre pour un volleyeur, rigole Maxime Montandon. Mais avec toute la bande, plus difficile de passer inaperçu!» La «bande», c’est un fan-club particulier qui s’est constitué pour aller soutenir Méline Pierret dans ses exploits européens avec le Neuchâtel Université Club (NUC), mardi soir.
Plusieurs joueurs du HC Sierre ont en effet noyé la déception de leur élimination en play-off de Swiss League dans l’euphorie de la Riveraine. La «faute» à Maxime Montandon, en couple depuis sept ans avec l’internationale suisse de volley. «Cette épopée en Coupe d’Europe a rendu curieux mes coéquipiers, et ils étaient six pour la demi-finale retour», raconte le capitaine du club valaisan.
Une délégation aux consonances très fribourgeoises, puisque outre le fils de Gil, deux autres anciens de Gottéron, Nelson Chiquet et Jordann Bougro, sont venus donner de la voix pour soutenir Méline Pierret et ses coéquipières – en plus du Grolleysan Arnaud Jaquet (La Chaux-de-Fonds). «C’est beaucoup plus stressant d’être dans les tribunes à regarder que sur la glace», sourit Maxime Montandon, présent lors de toute l’épopée européenne qui pourrait placer Neuchâtel sur le toit du continent.
Une rencontre à Fribourg
Formé à Gottéron, le hockeyeur de 30 ans a gardé de la Cité des Zaehringen certaines expressions, par exemple lorsqu’il explique que le volley dans sa version féminine est plus intéressant que de voir des hommes schlaguer dans le ballon, et y a surtout rencontré sa compagne. «On s’est mis ensemble un peu plus tard, lorsque je jouais à Ajoie. Méline était à Neuchâtel, c’était parfait», se souvient l’ancien Dragon.
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