Beat Richner se considère comme «un simple prisonnier de sa conscience»
carnet de route ? Rencontre avec le pédiatre zurichois qui a créé 5 hôpitaux pour enfants au Cambodge. Il n'hésite pas à s'en prendre aux organismes internationaux.
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claude Marthaler, Siem Reap
5 septembre 2008 à 04:00
En 1990, lors d'une visite touristique au Cambodge, le pédiatre de Zurich Beat Richner est bouleversé. Il découvre alors une terre noyée de pleurs et de sang par le génocide des Khmers rouges et l'occupation des Vietnamiens jusqu'en 1989. Un pays dévasté par 30 ans de guerre qu'il avait connu en 1974-75, alors jeune médecin au service de la Croix-Rouge....
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