Violences patriarcales. L’Etat délègue une bonne partie de ses tâches aux associations
Les associations féministes transforment les politiques publiques qui les sollicitent et sont bousculées.
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Dominique Hartmann
6 janvier 2025 à 00:00, mis à jour à 10:53
Dans le domaine des violences conjugales, les associations d’aide aux victimes se chargent d’une partie du travail de l’Etat. Comment les partenariats noués entre institutions et associations rejaillissent-ils sur le travail de ces dernières? Le féminisme fait-il évoluer les politiques publiques? La nouvelle parution de Nouvelles Questions féministes (NQF) s’intéresse à ces questions en plusieurs articles approfondis, sur le téléphone d’alerte, le recours à la justice civile, la pénibilité de la gestion des violences sexuelles à l’université – et l’impact sur la carrière de celles qui s’en préoccupent. Exploration avec un membre du comité éditorial de NQF et focus (ci-dessous) sur l’application du bracelet électronique.
Le Courrier
Politiques publiques face aux violences patriarcales, Nouvelles Questions féministes, 43/2, Ed. Antipodes.