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Société

Violences patriarcales. L’Etat délègue une bonne partie de ses tâches aux associations

Les associations féministes transforment les politiques publiques qui les sollicitent et sont bousculées.

En France, le dispositif du bracelet antirapprochement est en vigueur depuis 2020. La personne protégée comme la personne surveillée portent une balise GPS.Keystone/photo prétexte

Dominique Hartmann

Dominique Hartmann

6 janvier 2025 à 00:00, mis à jour à 10:53

Temps de lecture : 4 min

Dans le domaine des violences conjugales, les associations d’aide aux victimes se chargent d’une partie du travail de l’Etat. Comment les partenariats noués entre institutions et associations rejaillissent-ils sur le travail de ces dernières? Le féminisme fait-il évoluer les politiques publiques? La nouvelle parution de Nouvelles Questions féministes (NQF) s’intéresse à ces questions en plusieurs articles approfondis, sur le téléphone d’alerte, le recours à la justice civile, la pénibilité de la gestion des violences sexuelles à l’université – et l’impact sur la carrière de celles qui s’en préoccupent. Exploration avec un membre du comité éditorial de NQF et focus (ci-dessous) sur l’application du bracelet électronique.


  • Le Courrier

    Politiques publiques face aux violences patriarcales, Nouvelles Questions féministes, 43/2, Ed. Antipodes.