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Histoire vivante

Pourquoi toujours agir après la tempête?

Paradoxe: la plupart des jeunes boudent les urnes alors que ce qui en sort conditionne leur avenir. Pour les encourager à s’investir davantage dans (et pour) la société, une association vient d’être créée.

Des jeunes engagés en politique, ça existe. Ici l’assemblée de la Fédération suisse des parlements de jeunes, tenue il y a quatre ans à Fribourg. © Vincent Murith / La Liberté

Kessava Packiry

Kessava Packiry

7 mars 2014 à 04:10

«La démocratie, c’est nous.» Nous? Les jeunes, puisque c’est sur eux que le documentaire, proposé dimanche par «Histoire vivante», pose son regard. «La démocratie, c’est nous» parle de ces jeunes Européens, victimes d’une crise que traverse le Vieux-Continent. Privés d’avenir et de perspectives, ils s’investissent dans ces mouvements politiques et sociaux qui émergent, et qui tentent d’explorer de nouvelles solutions...

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Hiver 1954. La femme sans qui l’œuvre de l'abbé Pierre n’aurait jamais existé

Il y a 70 ans, le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait son vibrant appel radiodiffusé en faveur des sans-abri qui mouraient de froid en France. Son «insurrection de la bonté» n’aurait pas été possible sans le soutien extraordinaire d’une femme, Lucie Coutaz. Cofondatrice et directrice administrative du mouvement Emmaüs, elle a été son alter ego durant 40 ans. Portrait.