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Histoire vivante

Péchés capitaux à la «banque de Dieu»

Depuis sa fondation en 1942, l’Institut pour les œuvres de religion (IOR) a été la source de nombreux scandales financiers, chiffrés en milliards. Le pape François veut remettre de l’ordre, au profit des pauvres.

Au cœur des plus gros scandales de la banque du Vatican, l’archevêque Paul Marcinkus a évité les procès grâce à son immunité. Il est décédé en 2006 aux Etats-Unis. Keystone

Pascal Fleury

Pascal Fleury

28 février 2014 à 04:10

«Saint Pierre n’avait pas de compte en banque!» Proche des pauvres, le pape François n’a pas manqué de souligner, dès le début de son pontificat, son aversion pour l’argent, cet «excrément du diable», comme il l’a qualifié, empruntant l’expression à l’ancien président de la Commission européenne Romano Prodi. Pas étonnant, dès lors, que le Saint-Père ait décidé de remettre de...

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Hiver 1954. La femme sans qui l’œuvre de l'abbé Pierre n’aurait jamais existé

Il y a 70 ans, le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait son vibrant appel radiodiffusé en faveur des sans-abri qui mouraient de froid en France. Son «insurrection de la bonté» n’aurait pas été possible sans le soutien extraordinaire d’une femme, Lucie Coutaz. Cofondatrice et directrice administrative du mouvement Emmaüs, elle a été son alter ego durant 40 ans. Portrait.