Logo

Histoire vivante

Le triste sort des enfants des villes

A l’échelle mondiale, la situation des enfants sur le plan de la malnutrition et de la mortalité est désormais pire en zone urbaine que dans les campagnes. «Les villes négligent leurs enfants», avertit l’Unicef.

Une enfant de Kirkuk, au nord de l’Irak, récupère une plaque de tôle froissée pour renforcer son taudis. Michael Kamber/UNICEF/DR

Pascal Fleury

Pascal Fleury

5 octobre 2012 à 06:10

Au palmarès mondial de l’extrême pauvreté, les enfants souffrant de la faim dans les campagnes d’Afrique subsaharienne sont désormais éclipsés par les gosses des bidonvilles de Rio, Manille ou Nairobi. Victimes d’une urbanisation galopante non maîtrisée, des centaines de millions d’enfants se voient exclus des services les plus basiques. Confrontés à d’incessantes privations, ils se retrouvent dans une situation de...

Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus

Hiver 1954. La femme sans qui l’œuvre de l'abbé Pierre n’aurait jamais existé

Il y a 70 ans, le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait son vibrant appel radiodiffusé en faveur des sans-abri qui mouraient de froid en France. Son «insurrection de la bonté» n’aurait pas été possible sans le soutien extraordinaire d’une femme, Lucie Coutaz. Cofondatrice et directrice administrative du mouvement Emmaüs, elle a été son alter ego durant 40 ans. Portrait.