Après avoir largement tourné le dos au monde arabe pendant le XXe siècle, la République deTurquie se profile désormais comme puissance régionale à part entière, parallèlement à ses velléités européennes.
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17 août 2012 à 06:10
Dans les manuels scolaires turcs de la jeune République laïque de Mustafa Kemal, au tournant des années 1920-1930, les populations arabes étaient présentées comme arriérées. C’est dire si, après la chute de l’Empire ottoman, l’héritage culturel arabe a été renié, alors que fleurissaient les «sociétés d’histoire» visant à réhabiliter le rôle de la «race» turque dans la grande Histoire. Atatürk...
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