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Histoire vivante

Le paradis des résistantes déportées

Entre l’été 1945 et le printemps 1947, 500 anciennes déportées françaises de la Résistance ont été accueillies en Suisse romande, grâce à l’initiative de la nièce du général de Gaulle. Une action privée peu connue.

Le paradis après l’enfer pour ces résistantes françaises rescapées des camps nazis. Ici, jeu de balle à Villars-sur-Ollon.Archives François Piot/éd. Alphil/DR

Propos recueillis par Pascal Fleury

Propos recueillis par Pascal Fleury

21 février 2014 à 04:10

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale et pendant près de deux ans, environ 500 résistantes françaises rescapées des camps allemands, ainsi que quelques juives, ont pu séjourner en Suisse romande pour se refaire une santé et soigner leur traumatisme. Cette action humanitaire largement ignorée vient d’être mise en lumière par l’historien et bibliothécaire Eric Monnier et son épouse...

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Hiver 1954. La femme sans qui l’œuvre de l'abbé Pierre n’aurait jamais existé

Il y a 70 ans, le 1er février 1954, l’abbé Pierre lançait son vibrant appel radiodiffusé en faveur des sans-abri qui mouraient de froid en France. Son «insurrection de la bonté» n’aurait pas été possible sans le soutien extraordinaire d’une femme, Lucie Coutaz. Cofondatrice et directrice administrative du mouvement Emmaüs, elle a été son alter ego durant 40 ans. Portrait.