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Histoire vivante

Espionnage. l’arme de séduction massive

La chair est faible: les services secrets l’ont bien compris, mettant à profit les charmes de leurs plus belles recrues pour espionner l’ennemi. De Mata Hari à Anna Chapman, la tactique reste toujours aussi efficace.

Les espionnes se font parfois pincées, comme la Russe Anna Chapman à New York, arrêtée en 2010 par le FBI avec neuf autres espions. DR

Pascal Fleury

Pascal Fleury

23 août 2013 à 08:01

On les nomme souvent «Mata Hari», en référence à l’espionne hollandaise fusillée par la France en 1917. Leurs armes, ce sont leurs charmes. Recrutées par les services secrets, elles séduisent les hommes politiques, les militaires ou les industriels. Elles les espionnent de l’intérieur, leur soutirent des informations secrètes, les influencent dans leurs décisions, nuisent si nécessaire à leur réputation et...

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