Réprimées dans le sang, les manifestations de la place de la Perle sont oubliées. Mais pour les opposants à la monarchie, la situation est pire qu’avant. L’analyse du spécialiste Marc Valeri.
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Propos recueillis par Pascal Fleury
14 septembre 2012 à 06:10
Seuls quelques rares comptes rendus de procès de militants rappellent encore, aujourd’hui, que le Royaume de Bahreïn a été durement secoué par le Printemps arabe, en février-mars 2011. Sur l’île du golfe Persique, la tension reste toutefois perceptible, et pour les opposants au régime, la situation est encore pire qu’avant. Maître de conférences en sciences politiques à l’Université d'Exeter (GB)...
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