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Conseil d'Etat

Olivier Curty. «Il faut courir vite pour me rattraper»

Entré au Conseil d’Etat en 2016, le Lacois Olivier Curty (Le Centre) brigue un nouveau mandat

Olivier Curty défend le bilan de son action à la tête de la Direction de l’économie et de l’emploi, notamment à propos de Bluefactory et du travail au noir.

 Nicolas Maradan et Thibaud Guisan

Nicolas Maradan et Thibaud Guisan

15 octobre 2021 à 04:01

Temps de lecture : 1 min

Elections » L’ancien vice-chancelier de l’Etat de Fribourg défend son bilan à la tête de la Direction de l’économie et de l’emploi (DEE).

Beaucoup de vos adversaires vous voient comme la proie la plus facile parmi les conseillers d’Etat sortants. Que leur répondez-vous?

Olivier Curty: Qu’il faut courir vite pour me rattraper.

Mais la dernière année n’a pas été facile. Vous avez été effacé sur le dossier énergétique, et le résultat serré lors de la votation sur Bluefactory en juin sonnait comme un coup de semonce…

J’ai trouvé le dossier de Bluefactory dans un mauvais état. Il a fallu énormément de temps pour le remettre sur les rails durant toute la législature. Aujourd’hui, le dossier est très solide et transparent. J’ai fait ce qu’il fallait faire avec Bluefactory qui peut faire rayonner le canton avec ses autres parcs d’innovation. C’est très important pour faire progresser la création d’emplois.

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