L’élection présidentielle américaine aura lieu mardi prochain. Désuni comme jamais, le pays a deux faces, progressiste et conservatrice, qui se haïssent. Selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté, on peut l’aimer et le craindre à la fois.
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29 octobre 2024 à 18:33
Le suspense touche à sa fin. Mardi prochain, les Américains éliront leur nouvelle présidente ou leur nouveau président. Bien malin aujourd’hui qui peut prédire quel nom sortira de l’urne, tant le républicain Donald Trump et la démocrate Kamala Harris sont au coude-à-coude dans les sondages, que ça soit au niveau national ou dans les différents Etats clés, ces fameux six ou sept swing states qui décideront de l’issue d’un scrutin aux règles bien spécifiques, le candidat arrivant en tête dans un Etat raflant la totalité de ses grands électeurs.
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