Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche ouvre une ère d’instabilité internationale, estime François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté. En témoigne son discours délirant sur l’annexion du Canada ou l’achat du Groenland.
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17 janvier 2025 à 19:30, mis à jour à 21:21
Est-ce l’effet Trump? Après des mois de négociations infructueuses, il suffit que le magnat de l’immobilier retourne à la Maison-Blanche ce lundi pour qu’une trêve soit conclue à Gaza. Le républicain se vante bien sûr de réussir là où le gouvernement démocrate avait échoué jusqu’à présent. Un discours simpliste. Le cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas est de toute évidence aussi le fruit du long travail de sape mené par l’équipe de Joe Biden.
Donald Trump a pris langue avec Vladimir Poutine pour négocier la fin du conflit. EcartantVolodymyr Zelensky des discussions, il veut faire payer au prix fort l’aide américaine à l’Ukraine. Le républicain mène un jeu dangereux, selon François Mauron, rédacteur en chef de La Liberté.
