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Histoire vivante

La Légion comme patrie

Les légionnaires suisses n’étaient pas des «têtes brûlées» mais souvent de pauvres gosses sans avenir

Affiche de propagande pour la Légion étrangère. Ici, la Polynésie française, au temps des essais nucléaires.

Propos recueillis par Pascal Fleury

Propos recueillis par Pascal Fleury

15 avril 2017 à 07:00

Mercenaires » Des «têtes brûlées», ces Suisses qui se sont engagés dans la Légion étrangère en Indochine ou en Algérie? Des «va-t-en-guerre» sans peur et sans reproche au service de la France coloniale? Pas vraiment, si l’on en croit une étude fouillée de l’historien bâlois Peter Huber, récemment publiée en allemand*. Ces volontaires étaient en fait souvent de pauvres...

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