16 mai 2019 à 04:01
Equilibre » Le ballet s’intitule Blanche-Neige. Mais il faut oublier la féerie somme toute naïve d’une certaine version dessinée de Disney. Pour le chorégraphe Angelin Preljocaj, le conte se situe dans des profondeurs plus sombres de l’humain, la peur de vieillir, la séduction qui peut virer à la manipulation, une sensualité parfois «furieuse», comme l’annonce...
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La reconnaissance est importante pour Benedicte Bütler et Clemens Lüthard, infatigables défenseurs des arts circassiens et directeurs d’une école qui a suscité nombre de vocations. Ils organisent un festival de vendredi à dimanche à Prez-vers-Noréaz.
