Logo

Culture

Sybill Langer. «Pour être vétérinaire, il faut aimer les gens»

La Fribourgeoise se sert de la médecine chinoise pour soigner nos compagnons à quatre pattes et libère les tensions des bipèdes que nous sommes.

Sybill Langer apprécie les promenades en pleine nature avec son cheval O’Cerkan.Jean-Baptiste Morel

Maude Bonvin

Maude Bonvin

26 janvier 2025 à 09:00

Temps de lecture : 4 min

Debout à côté d’une table brun foncé, elle fait le pied de grue dans ce café fribourgeois. Organisée et méticuleuse, elle tient à la ponctualité. Sybill Langer, c’est avant tout un esprit rationnel, mais la définir par ce seul trait de caractère serait bien trop réducteur. A 5 ans, la vétérinaire glânoise dessinait déjà des chevaux. «J’ai eu la chance de pratiquer l’équitation à Prez-vers-Noréaz. J’étais fascinée par ces animaux», se souvient la quadragénaire, rêveuse.