Cinéma. Mémoires d’un escargot, une pépite d’animation douce-amère
Le réalisateur australien Adam Elliot livre la chronique tragique d’une orpheline abandonnée de tous. Un film qui aborde des thèmes d’une grande noirceur mais qui les désamorce grâce à un humour féroce.
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Temps de lecture : 2 min
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On le sait, le cinéma d’animation est bien plus qu’un simple divertissement pour le jeune public. De très beaux films l’ont déjà prouvé, de Valse avec Bachir à Ma vie de Courgette en passant par Persepolis. Le cinéaste australien Adam Elliot, qui a remporté de nombreuses récompenses avec Mary and Max il y a une quinzaine d’années, revient avec Mémoires d’un escargot, un long-métrage en pâte à modeler doux-amer techniquement virtuose mais également fort en émotions ainsi qu’en humour noir.