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Le mot de la fin

Chronique. Un chauve peut en cacher un autre

Harold Mrazek en 2006 avec Villeurbanne: les parquets, ça le connaissait.Corinne Aeberhard

Marc Aebischer

Marc Aebischer

26 septembre 2024 à 18:14

Temps de lecture : 3 min

Jusqu’à récemment, il n’y avait pour moi qu’un seul «Divin Chauve»: Harold Mrazek, ce basketteur fribourgeois qui a lancé des torpilles à longue distance pendant près de trente ans. Mais désormais, je voue une admiration analogue à un autre chauve, celui dont on ne voit jamais que le torse bombé exhibant des biceps moulés dans un tee-shirt trop blanc: Meister Proper!


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