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Le mot de la fin

Chronique. Le Landi, une ode au vivre-ensemble

Du client à la recherche d’une chaise à traire à celui qui repart avec du baume à lèvres, le Landi mélange toutes les catégories sociales.

Le Landi nous donne bizarrement envie de planter des tomates ou de changer de paillasson.Keystone

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On s’y sent chez nous. Un peu comme dans la cuisine d’une vieille tante chez qui on s’invite sans prévenir ni frapper pour tremper des Kägis dans un café soluble. On vient comme on est, pas besoin d’astiquer ses chaussures ou de changer de chemise, on ne fait pas long, promis, on va juste chercher des vis au Landi.