Jean-François Haas
16 juillet 2022 à 04:01
Le mot de la fin
Je me souviens du temps où le facteur passait le matin et repassait l’après-midi, même pour un seul pli. Etre facteur, c’était un beau métier, qui faisait rêver les gamins. Quand on disait de quelqu’un: «Il travaille aux Postes, à Genève, ou à Bâle», ce n’était pas n’importe qui.
J’aurais bien voulu être un de ces...
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