Nicolas maradan
1 mars 2018 à 05:00
Le mot de la fin
Confiné entre quatre murs, mon horizon se limite à une ouverture d’environ huit mètres entre les deux immeubles d’en face, numéros 16 et 22 d’une rue assiégée de béton. Une percée qui, par beau temps, me laisse entrevoir au loin la naissance des Alpes. Année après année, j’y vois surgir et faner l’hiver sur les pentes...
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