Chronique. Inspirons-nous des grippe-sous
Se moquer des pingres est bien joli. Il y aurait pourtant encore mieux à faire.
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Keystone
Eloïse Vallat
29 décembre 2024 à 16:36
Temps de lecture : 3 min
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Nous avons tous dans notre entourage quelqu’un d’un peu pingre. Un Monsignor-il-est-l’or qui se délecte du chant d’une cascade de pièces. Un oncle capable de se nourrir de sauce tomate pendant des semaines après avoir acheté une palette de boîtes de conserve en action. Un ami qui rempoche discrètement le surplus de pourboire au restaurant, arguant qu’il ne faut pas confondre bonne main et dilapidation.