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Le mot de la fin

Chronique. Cette petite conversation intérieure

Coller un post-it, un geste particulièrement intime. © Freepick

Angélique Eggenschwiler

Angélique Eggenschwiler

15 février 2024 à 11:30

Temps de lecture : 1 min

Je suis toujours mal à l’aise quand je croise un post-it. Notez, je n’ai rien contre les post-it, j’adore les post-it, en fait, je les aime tellement que si je devais n’emmener qu’une chose sur une île déserte, j’opterais probablement pour un bloc de post-it. Oui, j’ai un sens des priorités à toute épreuve, et l’instinct de survie d’un pot de chambre.

Sa mémoire aussi, d’où la prolifération de ces petits billets multicolores pour rafraîchir le mode d’emploi de ma propre existence: «Rappeler Jean-Pierre», «Arroser Gertrude», «Descendre la poubelle». J’ajouterais bien «grosse feignasse» si l’espace à disposition le permettait.

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