Killian Mottet. «Dans mon enfance, c’était hockey 24 heures sur 24»
«Oeuf de Dragon» • «La Liberté» passe en revue l’effectif des Dragons en mettant un coup de projecteur sur l’enfance des acteurs. La photo d’époque est fournie par le joueur ou l’entraîneur. Au tour de Killian Mottet.
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8 octobre 2014 à 18:32
«Je suis né en Basse-Ville. Alors que j’étais en âge de commencer l’école, on a déménagé à Marly où j’ai grandi. Dans mes souvenirs d’enfance, il y a beaucoup de hockey.
Papa a joué (Jean-Jacques faisait partie du Gottéron promu en ligue A le 4 mars 1980, n.d.l.r.) et mon grand frère (Mike) a joué. Et moi, j’ai suivi. Dans mon enfance, c’était hockey 24 heures sur 24. C’était le sujet de conversation incontournable à la maison. Quand mon frère avait des matches, on en parlait toujours à table.
Je jouais évidemment beaucoup au hockey durant mon temps libre. Mon frère me mettait toujours au but, car j’étais le petit. En été, dans le jardin, on jouait aussi au ping-pong ou au foot. Mais le hockey avait toujours une place importante. On a bien cassé deux ou trois vitres et même amoché la porte du garage!
Je n’ai jamais croché à une autre discipline. Ce qu’on faisait durant les cours de gymnastique me suffisait. Et puis, on jouait aussi au foot durant la récré.
Une image me revient. C’est celle-ci que je garderais si je ne pouvais en conserver qu’une. Mon grand-père venait me chercher à l’école le mercredi matin. Et départ! Il y avait déjà les patins et la canne dans la voiture. On mangeait chez mes parents et il m’emmenait à la patinoire de Marly. On patinait de 13 à 17 h, tout l’après-midi. C’est ça qui m’a permis d’être là où je suis aujourd’hui.» PAM
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Nom: Mottet
Prénom: Killian
Poste: attaquant
Né le 15 janvier 1991
A Gottéron depuis toujours, à l’exception d’un exil de trois saisons à Sierre, Lausanne, puis Ajoie
A disputé: 88 matches de ligue A, play-off compris.
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