Gottéron. «Sörenmark», mais surtout Mottet

Pat Emond s’imaginait-il prendre un temps mort après seulement quatre minutes le soir de sa grande première dans la peau de l’entraîneur en chef de Fribourg-Gottéron? Pas sûr étant donné que l’adversaire inaugural des Dragons dans cette campagne de Ligue des champions était modeste et anglais – les deux vont de pair en hockey sur glace. «Ce sont des choses qui arrivent», hausse les épaules le Québécois, obligé de rappeler ses joueurs au banc à 0-2 après deux pertes de puck qui ont permis à Sheffield de déjouer momentanément les pronostics. «Mais j’ai aimé la réaction qui a suivi», reprend Pat Emond.